La Société nationale d'électricité (SNE) procède depuis quelques jours à la réhabilitation du courant électrique dans les quartiers Maman Mboualé et Jamaïque dans le 6e arrondissement Talangaï
L'opération consiste à doter ces quartiers d'un nouveau circuit électrique, le premier étant endommagé depuis quelques années. C'est dans ce cadre que les postes de contrôle de la rue Djiélé, d'Imangué, non loin du cimetière de la Tsiémé, et celui de Maman Mboualé seront remis en service.
Au terme de l'opération, une bonne partie de l'arrondissement, partant de Maman Mboualé jusqu'au cimetière de la Tsiémé, ne connaîtra plus de problème d'électricité. Selon certains, la rupture de l'électricité dans cette zone s'explique par des branchements pirates qui ont fini par brûler certains transformateurs. Les riverains sont également cités pour avoir bâti des habitations sur des câbles souterrains de moyenne tension.
Au terme de l'opération, une bonne partie de l'arrondissement, partant de Maman Mboualé jusqu'au cimetière de la Tsiémé, ne connaîtra plus de problème d'électricité. Selon certains, la rupture de l'électricité dans cette zone s'explique par des branchements pirates qui ont fini par brûler certains transformateurs. Les riverains sont également cités pour avoir bâti des habitations sur des câbles souterrains de moyenne tension.
« Dans ce quartier nous vivons des perturbations en électricité depuis pratiquement trois ans. Au départ le courant était faible, mais depuis près d'une année, nous vivons dans l'obscurité. Il y a certaines personnes, qui, dans la construction de leurs parcelles, se sont permis de blesser voire même de couper les câbles. Du coup, nous n'avons plus d'électricité », a expliqué Claude Varton, habitant du quartier.
Lors d'une descente d'inspection des travaux le 4 mai, le chef de service technique par intérim de la SNE, Gervais Andzouana, a invité les populations à cesser de pirater l'électricité. Il a, par ailleurs, recommandé aux populations de se rapprocher des structures habilitées pour se brancher au réseau.
« Les travaux que nous exécutons actuellement s'inscrivent dans le long terme. Les gens ont occupé anarchiquement les terrains et les câbles se retrouvent aujourd'hui dans leurs parcelles. Nous avons été obligés d'abandonner l'ancienne ligne pour en créer une nouvelle », a précisé le responsable de la SNE.
« Les travaux que nous exécutons actuellement s'inscrivent dans le long terme. Les gens ont occupé anarchiquement les terrains et les câbles se retrouvent aujourd'hui dans leurs parcelles. Nous avons été obligés d'abandonner l'ancienne ligne pour en créer une nouvelle », a précisé le responsable de la SNE.
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